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Renforcer la cohérence entre sélection de la race Manech à tête noire et les systèmes de la montagne basque pour relancer une dynamique collective de la race

- Article actualisé le

Ce projet est issu d’une démarche PEI-AGRI Groupe opérationnel. Face à la baisse des effectifs de cette race pourtant emblématique, il recherche des solutions d’organisation pour mettre en œuvre des actions collectives.

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vignette - Renforcer la cohérence entre sélection de la race Manech à tête noire et les systèmes de la montagne basque pour relancer une dynamique collective de la race
# basque# race# sélection

Le contexte de forte demande de lait au niveau du bassin de production a conduit les éleveurs à s’orienter vers l’augmentation de la production au détriment d’une race dont les qualités s’expriment en montagne. La manech tête noire (MTN) a donc été progressivement remplacée par la manech tête rousse puis par la basco-béarnaise, y compris sur les exploitations des vallées de montagne.

Cette réduction du nombre de brebis MTN a entraîné la forte baisse du nombre d’éleveurs de MTN et donc mécaniquement la capacité d’action collective que peuvent porter les gestionnaires de la race. De plus, les éleveurs restés sur la MTN sont coupés en deux « camps » : ceux qui ont fait évoluer leurs systèmes pour mettre en œuvre les principes de sélection et ceux qui sont restés attachés au système montagnard (petites exploitation, importance de la transhumance longue). Les effectifs des deux groupes sont devenus trop faibles pour pouvoir créer une émulation collective mais les deux groupes ont pris conscience de la nécessité de rechercher un consensus pour se rapprocher et relancer la race.

L’association Buru Beltza (tête noire en basque) créée en 2010 regroupe 90 éleveurs. Un contrôle laitier expérimental a été mis en place pour rapprocher les objectifs des deux groupes.

L’objectif du projet est de tester la réorientation du schéma de la MTN en conciliant objectif d’amélioration de la production laitière et de maintien de la qualité montagnarde de la race. Le projet est construit sur 5 axes de travail : gouvernance et co-construction, explorer les possibilités offertes par la génomique, adapter les pratiques liés à la mise en place du programme de sélection, mettre à l’étude de nouveaux critères de sélection, analyser et promouvoir les systèmes d’élevage MTN.

Objectifs

Le projet a pour objectif de rassembler les éleveurs de la race MTN et les chercheurs afin de définir ensemble les modalités d'un programme de sélection novateur. Selon les besoins exprimés par les éleveurs, dans leur contexte d'élevage, les chercheurs ont a définir des scénarios de sélection collective autant sur le plan conceptuel que sur les modalités pratiques afin de permettre aux éleveurs de choisir les orientations de la race locale et de définir les axes de travail génétique et technique pour adopter un programme de sélection consensuel et novateur, adaptation au territoire, changements climatiques et aux conditions d'élevage.

Résultats

Reconstitution et amélioration des sols : retour à la terre des sédiments fluviatiles

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Avec un partenariat cohérent, Université de Bordeaux, GEO-Transfert (cellule de transfert de technologie), CEREMA Centre Est, Bordeaux Sciences Agro, Dpt 17 et 6 agriculteurs, le projet propose une approche économique de la gestion d’un déchet avec des intérêts nouveaux pour l’agriculture dont la reconstitution des sols et leur amélioration.

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# reconstitution# sédiment# sol

La principale filière de gestion à terre des sédiments (dépôts, alluvions…) extraits des voies navigables est la mise en dépôt (66 %) sur des terrains situés en bordure des zones de curage.

La valorisation en agriculture peut se concevoir comme une piste à développer car les sédiments peuvent apporter de la structuration aux sols malgré une valeur nutritive peu intéressante. Cependant, cette valorisation est limitée par la réglementation qui assimile les sédiments de dragage aux boues issues des traitements des eaux usées (STEP). Or les boues sont organiques alors que les sédiments sont principalement minéraux.

Afin de s’inscrire dans l’évolution de la société vers le recyclage, quelques projets de recherche ont vu le jour mais vers le BTP et la technique routière. Dans tous les cas, le principe de précaution commande que l’utilisation des sédiments ne doit pas mettre en danger la santé humaine ni nuire à l’environnement.

Parallèlement, la perte de sol est importante avec en France ¼ des sols affecté par l’érosion.

Les enjeux en agriculture sont donc : réduire les zones de dépôts, recycler, proposer une filière économique, améliorer le potentiel des sols, diminuer le stress hydrique et l’irrigation en améliorant la réserve utile des sols, augmenter le pouvoir épurateur des sols (phyto, nitrates…).

Le projet vise notamment à rechercher les dosages d’épandage possibles sur les sols de Doucins (sables ou limons) et sur des sols argileux-calcaires. Les aspects juridiques seront également étudiés. Il est constitué des axes suivants : analyses et caractérisation des sédiments et des sols, essais, analyse et guide méthodologique, diffusion des résultats.

Objectifs

Proposer une nouvelle solution agronomique aux agriculteurs: validation de la méthode de reconstitution de sols par apport de sédiments dragués inertes et non dangereux
Quantification de l'amélioration du potentiel agronomique du sol et de ses fonctionnalités écologique:
-Rôle de support du sol
-Amélioration du rôle de réserve du sol (hydrique, chimique, biologique)
- Rôle de rétention et d'autoépuration du sol
Effet sur la vie biologique du sol (effet sur la biodiversité et les fonctionnalités écologiques)
Solution d'adaptation aux impacts régionaux du changement climatique
Capacité à proposer une nouvelle filière de valorisation de sédiments dragués considérés aujourd'hui principalement comme des déchets

Une diffusion des résultats est prévue par:
-une animation auprès des agriculteurs sur sites d'essai et lors de réunions techniques
-présentation lors de colloques interprofessionnels sur la thématique de gestion des déchets et gestion des sédiments
-au travers d'un guide méthodologique
-par la rédaction d'articles de presse, internet, fiches techniques
-vers un réseau en constante évolution

SPNA

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Le programme SPNA (Sylviculture de Précision en Nouvelle-Aquitaine) est une réponse concrète aux besoins d'innovation dans le secteur de la sylviculture. Il concilie deux approches techniques (à une échelle macro : ex la télédétection, à une échelle locale : ex la modélisation) et deux essences (châtaignier, pin maritime).

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vignette - SPNA
# forêt# sylviculture

La sylviculture de précision est inscrite dans l’axe 2 « renforcement de la gestion durable des forêts » du Plan régional Forêt Bois et plus particulièrement dans la fiche 20 « accroître les performances du secteur par des approches système ». Il s’agit d’adapter les sylvicultures pour répondre aux besoins des marchés tout en assurant un renouvellement durable des forêts dans des conditions économiques compétitives.

Le projet vise plus particulièrement à concilier deux approches techniques, la télédétection à l’échelle macro et la modélisation à l’échelle locale. Deux essences seront concernées par ce programme, le châtaignier et le pin maritime, dans l’objectif de généraliser les résultats aux autres essences et notamment au Douglas.

Le pin maritime couvre 818 000 hectares de Nouvelle-Aquitaine dans les Landes et la Gironde mais aussi en Dordogne, Lot-et-Garonne, Charentes et Vienne pour 2,6 milliards € de chiffre d’affaires. L’éclaircie est une des décisions les plus importantes pour la sylviculture du pin maritime en futaie régulière. Suite à la reconstitution après tempête de 1999, une surface très importante est concernée par la réalisation des premières éclaircies. Il est donc important de disposer d’outils simples, fiables et modernes pour déterminer l’intensité de ces éclaircies.

Le châtaignier couvre 250 000 hectares de Nouvelle-Aquitaine. De nombreux sites de production sont en cours de modernisation pour traiter 38 400 m3 de bois par an soit 35 % de la récolte française. Le dépérissement et la maladie touchent cette essence qui devient plus sensible aux sécheresses et il est nécessaire de disposer d’outils de diagnostic et de nouvelles stratégies d’exploitation.

Le projet est réparti en actions  : développement d’une application mobile d’aide à la décision à l’échelle parcellaire pour le pin maritime, tests et diffusions d’outils d’aide à la décision (Bioclimsol, ARCHI châtaignier, Climafor) auprès de groupes testeurs, mise en place de sites école sur la gestion de peuplements de châtaigniers,  étude de la pertinence d’un modèle de télédétection de l’état sanitaire du châtaignier, développement d’un outil de diagnostic de la maladie de l’encre sur châtaignier puis formation.

Objectifs

Objectifs spécifiques pour le pin maritime :

• Création et développement d’un outil smartphone d’aide à la décision pour le déclenchement des éclaircies des forêts de pin maritime selon des normes de sylviculture (forêt privée et forêt publique)
• Elaboration d’une base de donnée « sylviculture participative » (BDP) alimentée par l’application smartphone (les sylviculteurs utilisant l’application pourront si ils le souhaitent transmettre leurs données et participer ainsi en retour à l’amélioration continue du modèle de croissance utilisé dans l’application, modèle co-développé par INRA et FCBA dans le cadre du GIS GPMF)

Les partenaires prévoient de déployer le projet en trois phases, afin d’en garantir la bonne fin et assurer la pérennité des outils. La demande de financement concerne la première phase.

La phase 1 du projet prévoit la réalisation d’une étude de faisabilité de l’application smartphone intégrant l’écriture d’un cahier des charges en lien avec l’organisation partenariale nécessaire au choix des solutions techniques les mieux adaptées. Elle prévoit aussi la mise en place des structures de base pour le fonctionnement du logiciel, notamment l’architecture des données nécessaire à son fonctionnement grâce au développement fonctionnel de la Base de données participative.

Objectifs spécifiques pour le châtaignier :
Mise à disposition des gestionnaires forestiers et des territoires d’outils de diagnostics, mais aussi de simulations de la sylviculture (marteloscopes) et de l’impact carbone (climafor) afin de dynamiser la sylviculture, et d’attirer des projets carbones capables de contribuer au financement de la rénovation de la châtaigneraie.

Il est ainsi prévu de :
• Mettre à disposition une méthode cartographique permettant de suivre annuellement, à partir d’images satellites, la réponse des taillis de châtaignier aux aléas biotiques et abiotiques.
• Mettre à disposition du gestionnaire des outils de diagnostic de terrain : ARCHI, Application BIOCLIMSOL,
• Déployer une application smartphone pour une épidémisurveillance citoyenne de la maladie de l’encre du châtaignier (développement en cours INRA Bordeaux)
• Réaliser des outils de diagnostic de l’encre (développement en cours INRA Bordeaux)
• Rendre disponible l’outil Climafor pour les peuplements Châtaigniers
• Vulgariser et former.

Résultats

Résilience des systèmes d’élevage caprins

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Le projet prend en compte les enseignements de la crise économique qui a révélé la fragilité des exploitations et la menace du changement climatique dans une approche globale de la durabilité des exploitations.

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vignette - Résilience des systèmes d’élevage caprins
# élevage# résilience

La Nouvelle-Aquitaine est la première région caprine d’Europe avec 1 200 élevages répartis entre l’ex-Poitou-Charentes (75%), l’ex-Limousin et la Dordogne. Elle produit 40 % de la production de lait de chèvre nationale et 36 % du cheptel. 123 élevages sont en agriculture biologique (10 %).

L’élevage caprin a été en forte croissance de 1990 à 2009, porté par la demande des consommateurs malgré l’absence de dispositif européen de régulation. Mais la crise économique de 2008 a ralenti le développement de la filière avec une demande en repli qui a entraîné une baisse des revenus des agriculteurs jusqu’en 2012. La demande est aujourd’hui à nouveau supérieure à l’offre.

La crise a permis une prise de conscience de la nécessaire résilience des élevages face aux aléas économiques d’autant que l’aléa climatique renforce la fragilité de la filière. La filière s’est organisée notamment autour du réseau d’excellence caprine (cluster Rexcap) et a mis en place de nombreux dispositifs de recherche. Malgré cela, le nombre d’éleveurs est en baisse (- 23%) et le rythme d’installation est insuffisant (25 /an).

Le projet vise à construire, évaluer et développer des systèmes d’élevage caprins innovants et résilients. Il se base sur deux piliers, la ressource alimentaire – vers l’autonomie – et la conduite des animaux – conditions de reproduction et entrée en production. Le programme est construit en 3 axes : conception et promotion de systèmes fourragers innovants, renouvellement des troupeaux en valorisant les chevrettes, diffusion et transfert des résultats.

CUBIC

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CUBIC (Cultiver Une Biodiversité Innovante et Collective) développe une démarche innovante, en plaçant le fonctionnement des organisations au cœur du développement des actions multi-espèces et multi-territoriales. Le champ d’action est complet et transversal, car il part de la production, avec ses questions de sélection de variétés population, jusqu’à la commercialisation.

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    Maraîchage
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    Viticulture
vignette - CUBIC
# agriculture biologique# agro-écologie# basque# biodiversité# blé# céréales# diversification# eau# ensilage# fourrage# fruits et légumes# irrigation# maïs# numérique# rotation# sécurité alimentaire# sélection# semence# stress hydrique# terroir# tournesol# vigne

Ce projet C.U.B.I.C Nouvelle-Aquitaine est né de la volonté des acteurs du programme régional « Cultivons la biodiversité en Nouvelle-Aquitaine »* de mieux formaliser leurs démarches et de mieux répondre aux besoins de terrain avec la recherche pour un appui scientifique, technique et méthodologique.

Le travail sur la biodiversité cultivée et les semences paysannes a démarré il y a près de 15 ans en Aquitaine et a fait de cette région une pionnière dans ce domaine avec une reconnaissance au niveau national et international.

La biodiversité des espèces cultivées est devenue un enjeu sociétal pour la préservation du goût et de l’identité territoriale. Mais on assiste toujours à une très forte diminution du nombre de variétés cultivées et de la diversité génétique de ces variétés malgré la crise que traverse l’agriculture, avec la baisse des prix des céréales et un poste « semence » toujours plus important sur les exploitations. Parallèlement, on dénombre un nombre croissant de conversion en agriculture biologique et un manque sur le marché de semences adaptées.

Aujourd’hui, de très nombreuses initiatives ont émergé de l’essaimage porté par les structures d’Aquitaine et nous participons activement au développement des semences paysannes, en plein essor en France et en Europe. Parallèlement, la recherche participative se développe également et la thématique de la biodiversité cultivée est une des premières à répondre à ces nouveaux champs de recherches.

Les actions sont réparties en 4 axes :

  • sélection participative des semences,
  • valorisation économique des semences paysannes et accompagnement des filières,
  • définition des modes d’organisation individuels et collectifs,
  • pilotage du projet et communication sur les résultats.

*Les acteurs du programme régional « Cultivons la biodiversité en Nouvelle-Aquitaine » sont les anciens acteurs des programmes régionaux « L’Aquitaine cultive la Biodiversité », « Cultivons la Bio-Diversité en Poitou-Charentes » et « 1001 Semences Limousines ».

Objectifs

Objectif global :
Développer les dynamiques collectives de sélection participative de variétés paysannes à l'origine de produits à haute valeur ajoutée, à forte identité territoriale, dans une démarche agroécologique.

Sous-objectifs :

- Redéfinir le lien entre les agriculteurs et la recherche en développant de nouveaux dispositifs expérimentaux...
- ...et de nouvelles méthodologies d'acquisition et de transmission des connaissances.

- Accompagner les filières existantes et émergentes locales de qualité pour la valorisation des produits issus de semences paysannes.

- Concevoir les meilleurs modes organisations collectives adaptables et reproductibles.

Livrables :
- Site internet du projet : http://cultivons-la-biodiversite-en-nouvelle-aquitaine.fr/
- Publication de fin de projet, présentant un panel des actions réalisées durant les 2 années.
- Films : 3 vidéos, découpées selon deux des axes du projet : "Sélection participative de la Biodiversité Cultivée" et "Valorisation économique des produits issus des variétés paysannes", ainsi qu'une 3ème générale sur la "Définition des semences paysannes et de la biodiversité cultivée, par les acteurs du terrain".
- Rapports de stages
- Articles de présentation, de vulgarisation...
- ...


Implantation d’une filière houblon en diversification en Nouvelle-Aquitaine

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En s'appuyant sur de nombreux partenaires (Hopen - Terre de houblon, Agrocampus 47, CUMA 47, Chambre d'Agriculture du Lot-et-Garonne, Bordeaux Sciences Agro, brasseries, pépinière, ...), le projet s'inscrit dans le développement d'une filière de houblon local pour répondre à la demande croissante des artisans brasseurs français.

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# agriculture biologique# agro-écologie# diversification# houblon# terroir

Il existe aujourd’hui en France près de 2000 brasseries artisanales à la recherche de houblon local pour être en cohérence avec le discours de proximité et de savoir-faire local. Le houblon apporte à la bière amertume et arômes. En moyenne, on utilise 3 g de houblon par litre dans les bières artisanales (contre 0,3 g/l pour les bières industrielles). Le houblon biologique est également recherché mais la production reste techniquement difficile.

Or, en France la production de houblon se concentre en Alsace et le Nord mais 80 % du houblon utilisé en brasserie est importé principalement de pays hors Union Européenne.

Le projet vise donc à relocaliser la production de houblon en premier lieu dans le Lot-et-Garonne, département propice à la diversification. Les producteurs lot-et-garonnais ont également l’habitude des cultures pérennes, qualitatives, et sont en recherche de diversification de leur exploitation.

Le projet se concentre sur un objectif de 2 à 5 hectares de houblon par exploitation permis grâce à une forte mutualisation du matériel (CUMA). Il s’appuie sur la mise en place d’une parcelle expérimentale à l’exploitation du lycée agricole Etienne Restat à Sainte-Livrade-sur-Lot (47110).

L’entreprise HOPEN accompagne l’agriculteur dans la transformation et la commercialisation de sa récolte.

Les actions viseront à mettre en place des référentiels technico-économiques, permettre l’accès aux matériels agricole et végétal, diffuser et communiquer les résultats.

Résultats

Ce projet repose sur la mise en place d’une houblonnière expérimentale au lycée agricole Etienne Restat de Sainte-Livrade (Agrocampus 47).

Cette parcelle d’un hectare compte 2250 pieds de houblon de 15 variétés différentes. Trois de ces variétés ont été plantées dans un but principal de production (Cascade, Chinook et Nugget) alors que les 12 autres sont majoritairement utilisées pour l’expérimentation.

Différents suivis et observations sont réalisées sur la parcelle par les chercheurs de Bordeaux Sciences Agro. Sont étudiés, les ravageurs, auxiliaires, maladies, développement et croissance, nutrition des plantes, etc. Ces relevés vont permettre au cours des 3 années de projet de comparer les différentes variétés et de déterminer celles qui sont le mieux adaptées au pédoclimat et à la pression ravageurs propre au Lot-et-Garonne.

C’est aujourd’hui 7 agriculteurs début 2021 qui ont implanté un parcelle de houblon, pour un total de 11 hectares. Ils sont localisés dans le lot et garonne et les départements voisins.